Avec un marché en forte croissance, accessible et pérenne, et en voie de professionnalisation, c’est le bon moment pour se lancer dans ce métier.
1. Un marché accessible et pérenne
Le marché du diagnostic immobilier est réglementé et obligatoire. Il concerne tous les biens immobiliers vendus ou loués. Son évolution est en partie liée au nombre de transactions de biens immobiliers, avec plus de 1 100 000 ventes en 2021 (record absolu). Le marché du diagnostic immobilier comporte également des segments plus récurrents, comme la location de biens (1,7 millions de nouveaux baux chaque année) et les états des lieux.
Grâce à sa maîtrise technique, Diagamter offre à ses franchises de diversifier leur activité en leur donnant accès à des segments plus spécialisés : amiante avant travaux ou démolition, mise en copropriété, étude de rénovation énergétique, mesurages Radon et Qualité de l’Air Intérieur, etc.
Ce marché de services, au métier noble consistant en la protection des biens immobiliers et de leurs habitants, reste accessible, par son investissement initial faible (15 à 25 000 € d’apport personnel, selon le projet, pour un investissement total de 80 000 €), en raison de l’absence de stock et de matériel, et de la non-nécessité de démarrer son activité avec un pas-de-porte.
En 2010, quand j’ai décidé de me lancer, Diagamter proposait déjà un niveau d’accompagnement équivalent à mon ancien grand groupe, voire meilleur dans certains domaines comme sur la technique du métier. J’ai appelé le siège de l’enseigne à Toulouse. Après deux rendez-vous, sur Montpellier et Bourgoin-Jallieu, j’ai été convaincu de rejoindre le réseau car ma principale crainte a été levée : obtenir rapidement une réponse concise à toute question technique de la part de l’équipe du franchiseur. C’est un élément déterminant pour réaliser des prestations de qualité et fidéliser les prescripteurs de l’activité. Lire le portrait
2. Un marché en voie de professionnalisation par les enseignes
Dans le secteur du diagnostic immobilier, les enseignes (succursalistes, franchises) ne représentent que 15% des entreprises. Les professionnels du secteur exercent généralement seuls (aucun salarié dans 70% des entreprises), dans un modèle économique dit « solo », non viable à terme sur un marché consolidé.
Diagamter participe à la professionnalisation du secteur, en favorisant le développement de ses cabinets franchisés sous la forme d’une structure entrepreneuriale : le franchisé (commercial et management), une assistance (gestion administrative) et trois techniciens (opérationnel en clientèle).
Notre enseigne constate actuellement un chiffre d’affaires moyen de 263 000 € pour ses franchisés après deux ans d’activité, soit trois fois le montant constaté dans la profession.
« J’ai demandé une documentation par mail à plusieurs enseignes, pour disposer d’éléments tangibles avant de m’engager dans mon projet de reconversion professionnelle. Sous 24 heures, Mathilde Milan, chargée de développement au sein de Diagamter, m’a rappelé pour s’entretenir sur mon projet durant une bonne heure. En franchise, la communication est importante. Disposer de personnes réactives, pouvoir discuter librement et poser toutes les questions, mêmes taboues, m’a rassuré sur l’implication et le professionnalisme du franchiseur. J’ai ainsi été rapidement mis en contact avec Thierry Adeline, le directeur du développement.
Pendant 4 mois, j’ai travaillé et mûri le projet sur les plans social et économique, ainsi que sur les opportunités de marché, notamment pour anticiper les imprévus. Le 23 février 2021, jour de mon anniversaire, j’ai signé mon contrat de franchise avec Diagamter. J’ai alors pu rencontrer Guillaume Exbrayat, le président de l’enseigne, dont j’ai immédiatement apprécié la bienveillance et l’intelligence.
Il ne faut s’engager en franchise qu’avec ce qu’il existe de mieux comme franchiseur, en termes d’accompagnement, d’image et de renommée. Ce que j’ai pu vérifier en réalisant une étude sur l’enseigne sur le site de l’Observatoire de la Franchise »
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3. Un marché en progression, avec d’importantes perspectives
En raison d’une réglementation toujours plus drastique en termes de sécurité, de santé et de transparence, le nombre de diagnostics immobiliers obligatoires est passé de 1 à 11 en vingt ans.
Depuis 2020, le repérage Amiante a été rendu obligatoire pour 6 activités (immeubles bâtis, avions, navires, industries, etc.) et son marché devrait encore progresser de 5,5% en 2022 et 2023, selon Xerfi.
« La réunion d’informations collectives m’a confirmé tout ce que j’avais lu sur l’enseigne. Thierry Adeline et Mathilde Milan ont répondu avec précision à toutes mes questions, notamment sur la rémunération potentielle du chef d’entreprise. Ils m’ont permis de découvrir le métier en pratique, et notamment les aspects techniques dans le bâtiment, de constater concrètement comment une mission de diagnostic immobilier se déroulait, en me proposant un stage chez un franchisé proche de mon secteur géographique, Lionel Bettenfeld à Millau. Je croyais qu’un diagnostic était comme une investigation, alors que l’on est guidé par un logiciel performant avec une grille méthodologique à respecter.
Après un à deux mois de recul pour prendre ma décision, et avoir obtenu une rupture conventionnelle avec mon employeur, j’ai signé mon contrat de franchise début 2019. J’ai réalisé ma formation de diagnostiqueur immobilier au printemps de la même année. J’ai aussi pu participer à la Convention nationale annuelle, à Séville, et au travers de conversations avec des franchisés, j’ai pu noter leurs performances économiques.
Au début de l’été, j’ai passé 4 semaines au siège de l’enseigne pour la formation « Enseigne et Stratégie ». L’équipe du franchiseur m’a immédiatement mis à l’aise, ces échanges m’ayant aidé à appréhender les débuts de l’activité avec son soutien. L’enseignement est dense et intéressant, mais certains éléments, comme méthodologie commerciale se comprennent mieux après 18 à 24 mois d’activité [1] »
[1] Une formation continue, intitulée Patron, est proposée au franchisé, après 18 à 24 mois d’activité, pour lui permettre notamment de se remettre en question et de se recentrer sur les fondamentaux du commerce. Lire le portrait