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Diagamter a participé en décembre, au 1er salon des professionnels de l’amiante à Paris La Défense
Près de 2000 visiteurs
Le 15 décembre dernier, Diagamter a participé au premier salon des professionnels de l’amiante à Paris. Au pied de l’Arche de La Défense, cet événement a accueilli près de 2000 visiteurs, exclusivement professionnels, autour d’une centaine d’exposants et d’une quinzaine de conférences et ateliers thématiques.
Enseignes de diagnostiqueurs immobiliers, centres de formation/prévention tels qu’Aléa Contrôles (filiale de Diagamter), laboratoires, bureaux d’études, groupes d’ingénierie, entreprises de démolition, fournisseurs de matériels… Tous étaient présents pour proposer à des donneurs d’ordres désireux de rencontrer des entreprises compétentes, des solutions innovantes pour répondre à leurs obligations.
Attention aux diagnostics obsolètes ou inappropriés
Présent à travers deux stands (avec Aléa Contrôles), Diagamter a été le seul réseau de franchise à animer un atelier sur le thème « Gestion des repérages « amiante » pour un donneur d’ordres : difficultés, enjeux et solutions ». Face à une cinquantaine de personnes, Guillaume Exbrayat, président de l’enseigne, a ainsi battu en brèche quelques idées reçues sur un matériau utilisé depuis 90 ans (avant son interdiction en 1997) dans toutes les constructions pour sa souplesse, ses résistances (feu, mécanique, etc.) et ses propriétés d’isolant (thermique et électrique).
Tout d’abord, il faut veiller aux diagnostics obsolètes ou inappropriés. Il est aussi nécessaire de pouvoir gérer facilement ses diagnostics dans le temps. De plus, il est indispensable d’interpréter les résultats d’un rapport, déclenchant souvent des opérations : mesures d’empoussièrement, travaux, évacuation immédiate des locaux… Enfin, ce n’est pas le diagnostiqueur qui est responsable du contenu des rapports remis. Une fois ces fondamentaux rappelés aux donneurs d’ordre, Guillaume Exbrayat a expliqué les solutions mises en place par son réseau de franchise, tant au niveau des outils que des services.
Faire de la pédagogie sur l’amiante
Près d’une dizaine de franchisés Diagamter, venus de toute la France (Metz, Cholet, Angers, Le Havre, Nantes, Rosny-sous-Bois, Ivry-sur-Seine…) ont visité le salon.
« Nos franchisés s’informent sur un sujet en plein développement dans notre réseau et pour lequel nous avons créé un club Virtuo, ainsi qu’une formation et un accompagnement pour permettre aux cabinets structurés d’investir un segment de marché exigeant et rémunérateur. Ils ont aussi toujours plaisir à venir échanger avec nous sur lors des événements où l’enseigne est présente.
Notre prise de parole en ateliers, devant une cinquantaine de personnes, montre que Diagamter figure parmi les référents techniques faisant autorité dans son secteur. Il faut encore faire de la pédagogie sur l’amiante avant travaux ou démolition. Au-delà de mon intervention, c’est un service que l’on rend à nos clients, actuels et potentiels. J’ai remarqué que même notre concurrence était présente à l’atelier, ce qui confirme combien notre regard est digne d’intérêt pour elle…», affirme malicieusement Guillaume Exbrayat.
Risque pénal pour les bailleurs sociaux
« Par ailleurs, j’ai été étonné de l’excellente affluence du salon, avec des allées pleine de monde, mais aussi de la qualité du visitorat et des exposants. Il ne s’agit d’un rendez-vous de l’« entre-soi » pour des professionnels. La présence de grandes collectivités locales, de mairies, de bailleurs sociaux et de maîtres d’ouvrage indique combien l’amiante est au centre de leurs préoccupations et qu’ils n’ont pas toutes les réponses à leurs problématiques. Le traitement de ce matériau est aujourd’hui un sujet économique majeur », ajoute Guillaume Exbrayat.
Damien Larroumets, responsable système d’information Diagamter, présent sur le salon tout comme Christophe Audibert (adjoint au directeur technique Diagamter) et Olivier Héaulme (associé Diagamter), confirme l’importance de cet événement pour l’enseigne : « C’était primordial pour Diagamter d’être présent à ce salon, en particulier pour réaliser de la veille sur les solutions informatiques proposées aux bailleurs sociaux. Ces derniers ont besoin d’un point de contrôle pour contrôler et gérer la vie de l’amiante des bâtiments dont ils ont la responsabilité. D’autant plus que s’ils mandatent des travaux liés à l’amiante et mettent des intervenants ou des occupants en danger, ils s’exposent à un risque pénal. Nous sommes là pour imaginer comment interfacer nos solutions, prévues pour des bailleurs sociaux pouvant gérer jusqu’à une dizaine de milliers de lots, avec les logiciels existants. Ainsi, nos franchisés n’auront pas à saisir de nouveau les données entrées dans une autre application ».