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Diagamter : toujours Plus Belle La Vie !
2e campagne de parrainage avec Plus Belle La Vie
En octobre dernier, durant trois semaines, Diagamter a parrainé une première fois Plus belle la vie sur France 3, feuilleton populaire dont l’audience dépasse les 4 millions de téléspectateurs par épisode. L’enseigne poursuit cette prise de parole à l’intention du grand public tous les soirs à 20 heures 25 sur un grand média national à partir du 13 mars, et jusqu’au 2 avril.
Ce parrainage de Plus belle la vie est repris sur France Ô à 12 heures 25, et sur le replay de FranceTv Pluzz.
Construction d’un capital marque
Cette nouvelle exposition médiatique s’inscrit dans la poursuite d’une stratégie de développement de la marque du réseau, commencée dès 2012. Diagamter a ainsi organisé des campagnes de publicités sur de grands médias : RMC, France 2, France 4, L’Equipe 21… Juste avant l’été, l’enseigne a même lancé sa sixième campagne sur RTL en deux ans.
Tout en cherchant à générer du trafic de clientèle vers ses 145 cabinets répartis sur tout le territoire national, Diagamter continue ainsi à construire un capital de marque, véritable support de ses chefs d’entreprise indépendants pour prospecter les professionnels de l’immobilier, prescripteurs de leur activité.
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Diagnostiqueurs certifiés, créez ou développez vos affaires avec Diagamter !
Se différencier au-delà de la seule compétence technique
Réseau leader en solutions pour le diagnostic immobilier, Diagamter propose aux techniciens et chefs d’entreprise déjà installés de son secteur de découvrir la force apportée par notre enseigne pour créer ou développer leur propre affaire lors du prochain salon Franchise Expo Paris.
En raison d’une réglementation qui s’est complexifiée depuis 20 ans, et d’une pratique de l’entrepreneuriat qui nécessite de maîtriser toujours plus de paramètres (communication, marketing, digital, etc.), ces professionnels expérimentés et certifiés ne peuvent aujourd’hui se suffire de leur seule compétence technique pour affronter la concurrence.
En devenant franchisés Diagamter, ils bénéficient des avantages apportés par l’enseigne pour se différencier de la concurrence : une veille réglementaire quotidienne, une méthodologie intégrant en temps réel les dernières évolutions, des outils numériques facilitant la réalisation de ses missions et la prescription de son activité, la notoriété d’une marque, une communication locale à coût mutualisé générant efficacement du trafic vers son cabinet…
Ces importants gains de temps et en professionnalisation leur permettent de se concentrer sur la production de rapports et de pouvoir régulièrement prospecter les prescripteurs de son activité, dans le but de mieux se développer sous forme structurée (vitrine, assistante, équipe de techniciens).
L’an dernier, Diagamter a intégré 15 arrivants, salariés en reconversion ou chefs d’entreprise en mutation. En 2017, il compte sur 20 nouvelles intégrations. Avec le taux de renouvellement observé l’année dernière (95,8%), le réseau compte désormais 103 franchisés, 143 cabinets et près de 300 collaborateurs en France.
Lors de Franchise Expo Paris (Porte de Versailles), du dimanche 19 au mercredi 22 mars 2017, les candidats à la franchise Diagamter pourront rencontrer l’équipe du franchiseur sur le stand de l’enseigne (D47, Hall 2.2) : Guillaume Exbrayat, président et associé Diagamter, Thierry Adeline, directeur du développement depuis 18 ans et associé Diagamter, ainsi que Mathilde Milan, animatrice réseau.
Alors, chefs d’entreprise déjà installés dans le diagnostic immobilier, venez échanger avec nous au salon et comprendre comment vous pourrez faire localement la différence avec Diagamter !
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Diagamter intervient dans 2 conférences à Franchise Expo Paris
7e participation consécutive
Pour sa 7e participation consécutive au salon Franchise Expo Paris, Diagamter interviendra en tant que témoin dans deux conférences « Devenir franchisé ».
La première aura lieu le lundi 20 mars de 18 à 18 heures 45, avec comme thématique « Du salariat à l’entrepreneuriat : ils ont sauté le pas avec succès ». Elle permettra à Jean-Louis Kersac’h, franchisé Diagamter à Suresnes depuis 2011, après avoir été commercial dans l’industrie pendant plus de 20 ans.
La seconde conférence se déroulera le mardi 21 mars, de 12 heures à 12 heures 45, sur la thématique « Quel profil d’homme ou de femme, pour quelle activité, quelle franchise ? » avec, parmi les intervenants (Darty, Groupe Flo, Jardin des Fleurs), Guillaume Exbrayat, président Diagamter.
Stand D47, Hall 2.2
Parallèlement à ces événements, du dimanche 19 au mercredi 22 mars 2017, vous pouvez rencontrer deux des trois associés de l’enseigne, Guillaume Exbrayat et Thierry Adeline, directeur du développement, ainsi que Mathilde Milan, animatrice réseau.
Ils vous accueilleront tout au long de ces 4 jours, à partir de 9 heures 30, sur le stand D47, situé dans le Hall 2.2 du Parc des Expositions de la Porte de Versailles à Paris.
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Le « rêve américain » au sein de Diagamter, pour trois salariés du réseau
Une assistante et deux techniciens Diagamter
Valérie Marie, Paul Danjou et Samuel Houdebine, trois anciens salariés, une assistante et deux techniciens, qui se sont toujours investis pour leur cabinet comme s’ils en étaient le dirigeant, ont accédé à l’entrepreneuriat, en reprenant un cabinet du réseau ou en devenant actionnaire majeur.
En inspirer d’autres au sein du réseau
Dans sa newsletter interne destinée à l’échange de bonnes pratiques de franchisé à franchisé, Points de Repère, ils ont raconté leurs trajectoires en forme de « rêve américain » au sein de l’enseigne, afin d’en inspirer d’autres, tant du côté des équipes des cabinets, en quête d’évolution, que des franchisés, songeant à transmettre leur affaire.
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Diagamter compte désormais 103 franchisés et 143 cabinets
Arrivée de 20 nouveaux cabinets dans le réseau en 2016
Au cours de la dernière année, Diagamter, réseau national de Diagnostiqueurs Immobiliers Certifiés, a enregistré l’arrivée d’une vingtaine de nouvelles structures, qui fêteront leur première présence en Convention Nationale en avril, à Palma De Majorque.
Avec le taux de renouvellement observé (95,8%), dont les deux-tiers ont signé pour un troisième quinquennat dans le réseau, Diagamter compte désormais 103 franchisés, 143 cabinets et près de 300 collaborateurs en France.
1er réseau de franchise à rejoindre la CDI FNAIM
Cette accélération du développement est notamment consécutive à l’accroissement des services apportés par l’enseigne à ses franchisés, concrétisé par un Label Or de l’Indicateur de la Franchise avec 86,6% de satisfaction des franchisés.
Au niveau du client final, il occupe 14% de parts de marché sur les secteurs exploités par l’enseigne et génère un taux de satisfaction de 97% (sur plus de 6400 avis de consommateurs). Cette éthique dans l’exercice de leur métier a permis à Diagamter de devenir récemment le premier réseau de franchise à rejoindre la Chambre des Diagnostiqueurs Immobiliers FNAIM.
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Trésorerie : conseils et astuces d’un expert en médiation et négociation
Vigilance constante
Révélatrice de l’état de santé d’un cabinet, la trésorerie doit demeurer une préoccupation constante du chef d’entreprise. Dans le secteur du diagnostic immobilier, elle nécessite une vigilance constante dans le suivi du règlement des factures.
Générer de la trésorerie en agissant sur le poste Clients
Dans sa newsletter interne destinée à l’échange de bonnes pratiques au sein du réseau, Points de Repère, un spécialiste du recouvrement amiable et du suivi des procédures judiciaires est intervenu pour apporter les conseils et astuces d’un expert en médiation et négociation pour générer de la trésorerie en agissant sur le poste Clients.
Il explique notamment quelles sont les 3 étapes durant le processus global d’encaissement d’une prestation, et comment agir, entre pédagogie et actions administratives pour préserver sa trésorerie.
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Faciliter la gestion et le développement d’un cabinet Diagamter
Outils modernes et encore peu utilisés dans le secteur du diagnostic immobilier
Composé de 4 modules, agrégé à la plate-forme monDiagamter.com et à l’outil de production DTAB, et lancé fin 2015 par l’enseigne, le Pack Business permet au chef d’entreprise Diagamter de bénéficier d’outils modernes et encore peu utilisés dans son secteur pour se faciliter la gestion et le développement de son affaire.
Dans sa newsletter interne destinée à l’échange de bonnes pratiques de franchisé à franchisé, Points de Repère, Laurent Bettinelli et Gaëtan Boehly, respectivement franchisés depuis 2009 et 2011 ont expliqué pourquoi ils ont en particulier été séduits par deux des modules.
Les franchisés Diagamter peuvent adapter leur activité commerciale en temps réel
D’une part, DiagPaiement pour de multiples raisons : renforcement de l’image d’une entreprise structurée, sécurisation du paiement, préparation du travail de comptabilité et réduction des impayés. Et d’autre part, DiagPilot, qui les a aidés à mieux comprendre les évolutions du marché, adapter leur activité commerciale en temps réel et accompagner le développement de leur structure.
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Quatrième Convention nationale Diagamter à l’étranger
Palma de Majorque pour la 16e édition
Après Barcelone, Marrakech et Lisbonne, Diagamter organise, pour la quatrième fois, la Convention nationale de son réseau à l’étranger en avril prochain. Destination choisie pour la 16e édition : Palma de Majorque.
85% de taux de participation
L’enseigne bénéficie d’un fort taux de participation de ses franchisés aux événements qu’elle organise (85%). En octobre dernier, la dernière séquence d’animations régionales a de nouveau rassemblé localement le réseau à chacune des huit étapes, autour d’échanges d’informations, toujours placé sous le signe de la convivialité.
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T. Marchand (président CDI Fnaim) : « Fondamental de partager la même vision du métier avec Diagamter »
Diagamter et ses 200 diagnostiqueurs certifiés viennent de rejoindre la Chambre des Diagnostiqueurs Immobiliers Fnaim (CDI Fnaim), comptant désormais 900 membres. L’enseigne, née avec son secteur d’activité, et l’institution, dernière émanation des chambres de la Fnaim, défendent la même éthique dans l’exercice de leur métier, garante d’un service de qualité pour le client final.
Pour mieux comprendre le sens de cette adhésion et l’impact sur l’avenir du 13e métier de la Fnaim, nous avons longuement interviewé Thierry Marchand, président de la CDI Fnaim depuis juillet 2016 et diagnostiqueur immobilier à Dinan depuis 12 ans, et Sylvain Coopman, délégué général de la CDI Fnaim depuis la création d’une institution à laquelle il a participé.
Quelle est la vocation de la Chambre Fnaim des Diagnostiqueurs Immobiliers ?
Sylvain Coopman : Notre vocation est d’être un syndicat comme un autre, représentatif des diagnostiqueurs immobiliers tout en conservant notre indépendance vis-à-vis des agents immobiliers.
Notre première mission est d’accompagner nos entreprises adhérentes dans l’exercice de leur activité. Cela se traduit notamment par une veille réglementaire, à travers des newsletters ou des flashs infos pour les sensibiliser plus particulièrement au sujet traité, et un accès à la permanence juridique de la Fnaim tous les matins en semaine. Nous proposons aussi un soutien technique, ainsi que des demi-journées d’informations en régions, dans plus d’une vingtaine de villes. Notre dernière tournée sur la norme FD C16-600 a été déployée sur 19 dates. Nous négocions également des partenariats à tarif préférentiel.
Thierry Marchand : Notre seconde mission est d’être porte-paroles de notre profession et de nos adhérents auprès des pouvoirs publics. Notre secteur a 20 ans d’existence, notre fédération professionnelle a été créée il y a 10 ans, nous avons donc une connaissance pertinente d’un métier au carrefour de l’immobilier et du bâtiment.
Les conclusions de nos bilans techniques ont un impact sur la sécurité et la santé des habitants et des ouvriers du bâtiment, ainsi que sur la protection de l’environnement. Certaines évolutions réglementaires nécessitent un travail interministériel : santé, travail, environnement et construction/logement. L’intégration des 200 diagnostiqueurs immobiliers Diagamter nous offre une meilleure densité de représentation sur notre secteur d’activité. Plus nous serons nombreux, tout en restant sérieux et crédibles, plus nous serons écoutés des pouvoirs publics.
Quelles ont été les avancées majeures pour le métier de diagnostic immobilier, apportées grâce au travail de la CDI Fnaim ?
Sylvain Coopman : En 2010, soutenus par la Fnaim, nous avons porté le projet de décret sur l’interdiction du commissionnement sous quelque forme que ce soit, tant vis-à-vis d’un professionnel de l’immobilier que du bâtiment. La formulation était d’ailleurs fortement « inspirée » du code d’éthique de la Fédération. Nous avons également été force de propositions lors des discussions sur l’évolution du Diagnostic de Performance Energétique (DPE), tant sur les critères à relever de façon plus précise et plus proche de l’usage réel que de l’obligation de valider les logiciels de calculs. Très récemment, nous avons « raccroché » le diagnostiqueur immobilier dans le décret concernant le Diagnostic Technique Global, puisqu’il – un comble ! – n’y figurait pas au départ.
Thierry Marchand : Nous avons aussi défendu, dans le cadre de la loi ALUR, que les diagnostics électricité et gaz soient réalisés pour la location exactement selon le même processus que pour la vente d’un logement. La majorité des anomalies constatées en électricité ont pour origine les modifications successives, faites occasionnellement et pas forcément dans les règles de l’art. Si la durée de validité a été voulue différente – 3 ans pour la vente, 6 ans pour la location -, c’était dans le but d’avoir un dispositif équilibré, en tenant également compte de l’intérêt économique des propriétaires, le taux de rotation moyen pour un bail étant de 4 à 5 ans.
Quels sont les futurs chantiers menés par la Chambre Fnaim des Diagnostiqueurs Immobiliers ?
Sylvain Coopman : Cette première victoire dans la convergence entre les DDT vente et location s’inscrit dans une volonté de simplification réglementaire et d’amélioration de la visibilité de notre travail par le consommateur, afin qu’il en comprenne l’essence.
Un autre de nos chantiers est le carnet numérique du bâtiment, autrement dit la transmission des informations que nous récoltons : ce qui existe pour le DPE doit pouvoir s’étendre aux autres diagnostics immobiliers, pour devenir une mine d’informations précieuse pour la gestion du patrimoine, tant privé que public.
La certification est très mal vécue des diagnostiqueurs mais – on l’oublie souvent – ce dispositif empêche le tout venant de réaliser des diagnostics et le suivi des compétences des diagnostiqueurs reste une incontournable exigence pour permettre à notre métier de bénéficier d’une assurance à un coût « raisonnable ». Cela n’interdit pas d’améliorer le système : nous poussons pour allonger la durée du cycle des certifications à 10 ou 12 ans, en combinant plus intelligemment avec une obligation de formation continue durant cette période mais cela ne pourra être « entendable » par les pouvoirs publics que lorsque la sinistralité aura été réduite.
Thierry Marchand : Aujourd’hui, nos rapports restent complètement indigestes pour le commun des mortels. Le chantier qui me tient particulièrement à cœur est de pouvoir proposer une lecture simplifiée des conclusions des diagnostics immobiliers. Cet outil se présenterait sous la forme d’une fiche recueillant, de manière uniformisée et approuvée par les pouvoirs publics, tous les points de vigilance identifiés sur un bien immobilier. Avec des informations ayant du sens pour les particuliers, propriétaires comme futurs acquéreurs : où on a trouvé de l’amiante, les zones du bien que nous n’avons pas pu visiter…
Par ailleurs, le métier de diagnostiqueur immobilier doit, d’ici 10 à 15 ans, s’étendre à d’autres domaines : ouvrages de génie civil, bateaux, avions… Par sa formation de base, l’architecte peut aussi bien construire une maison qu’un hôpital. Le même raisonnement doit pouvoir s’appliquer au diagnostiqueur immobilier pour tout type de missions relevant d’un diagnostic technique pour la vente ou la location d’un bien. Il faut, pour cela, que nous parvenions à montrer la qualité de nos prestations à l’ensemble des professionnels de l’immobilier et du bâtiment, ainsi qu’aux pouvoirs publics. Le diagnostiqueur immobilier de demain devra être spécialiste dans un domaine, et déléguer ou sous-traiter ce qu’il ne sait pas faire. Il sera un chef d’orchestre, plus qu’un homme-orchestre, un chef d’entreprise plus qu’un producteur indépendant.
Quelles sont les règles de vie entre les membres de la Chambre Fnaim des Diagnostiqueurs Immobiliers et la Fnaim, ainsi qu’au sein de la fédération professionnelle elle-même ?
Sylvain Coopman : La Fnaim a mis en place un code d’éthique et de déontologie que tous ses adhérents s’engagent à respecter. En particulier la notion d’indépendance et d’impartialité : il faut pouvoir être « libre » de son client pour réaliser une prestation. Nous ne souhaitons pas obliger la prescription aux diagnostiqueurs Fnaim par les autres adhérents de la Fédération mais nous faisons en sorte que tout prescripteur de diagnostics, particulier ou professionnel, choisisse un de nos membres parce qu’il répond aux exigences du label Fnaim, connu et reconnu dans l’immobilier.
Concernant les règles de vie au sein de la CDI Fnaim, un département Qualité traite des litiges entre adhérents et consommateurs particuliers. Je n’ai pas souvenir de conflits notables de ce type ou même entre adhérents mais, dans ce dernier cas, une commission d’arbitrage traiterait ce genre de questions.
Comment s’est nouée la relation entre Diagamter et la Chambre Fnaim des Diagnostiqueurs Immobiliers ?
Sylvain Coopman : A titre individuel, certains membres du réseau avaient déjà adhéré à la CDI Fnaim, ce qui a permis à la tête de réseau d’observer notre approche du métier, notre état d’esprit. Guillaume Exbrayat a rencontré le président de la Fnaim, Jean-François Buet [1], ce qui a déclenché le début des échanges avec Claude Pascal, le précédent président de la CDI Fnaim, Thierry Marchand et moi-même. Nous partagions des valeurs identiques et la même éthique du métier, notamment une exigence sur la qualité de la prestation et une politique de tarifs à la hauteur du travail accompli. Nous avions la même envie de construire le métier, la même perception de ce qu’il a été, est et devrait devenir. L’adhésion du réseau est devenue une évidence.
Thierry Marchand : Pour intégrer un réseau de franchise, c’était fondamental de connaître la philosophie de travail de l’enseigne, des dirigeants du réseau, et être certain de partager avec elle la même vision du métier, notamment en termes d’impartialité, de formation des diagnostiqueurs immobiliers et d’exigence professionnelle au quotidien. Tout adhérent CDI Fnaim doit porter haut les couleurs de son métier, ne pas être dépassé ni par son évolution constante, en termes de réglementation et de technologies, ni par la connaissance des matières, tout en demeurant une entreprise à dimension humaine. Les franchisés et le franchiseur Diagamter répondent parfaitement à ces critères, ce qui amène une hausse conséquente et cohérente de notre représentativité dans la profession.
Sylvain Coopman : Diagamter est un réseau à dimension nationale, au savoir-faire reconnu, existant depuis 20 ans. Depuis la création de la CDI Fnaim, personne ne s’est jamais plaint de ses franchisés auprès de nous (alors que cela a pu être le cas pour d’autres enseignes), ce qui facilitera l’intégration du réseau au sein de notre Chambre. Ce rapprochement est un acte gagnant-gagnant pour l’avenir économique de notre profession, entre un réseau de 200 diagnostiqueurs qui propose une uniformité de services au consommateur et une fédération qui connaît les futures dispositions pour son métier bien à l’avance.
[1] Lors d’une réunion régionale Fnaim, en octobre 2015
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AMFE : Des diagnostics plus importants que d’autres
Soutenir l’Association Maladies Foie Enfants
Il y a un an, à l’initiative d’un de ses franchisés (Olivier Couteau), Diagamter a choisi de parrainer Les Demoiselles Roses, Caroline Demas et Aurélie Anselin.
Ces deux amies, jeunes mamans et chefs d’entreprises, ont en effet récolté des dons, d’une part pour financer une partie du Trophée Roses des Andes (rallye opposant une soixantaine d’équipages féminins), et d’autre part, pour soutenir l’Association Maladies Foie Enfants (AMFE), un organisme caritatif qui leur tient à cœur parce qu’il aide la recherche médicale afin de vaincre les maladies hépatiques rares en pédiatrie.
Leur projet a participé à la création d’un nouvel espace de vie, dans le service hépatologie pédiatrique du CHU Bicêtre, incluant trois chambres parent-enfant, une salle de motricité pour les tout-petits, un bureau pour les professeurs des écoles et un espace d’échange avec les psychologues.
La générosité, 7e valeur de Diagamter ?
Guillaume Exbrayat, président de Diagamter, était présent ce 18 janvier à l’inauguration de cet espace facilitant la présence des parents auprès de leurs enfants malades.
« Incontestablement, il y a des diagnostics plus importants que d’autres… Ce projet de parrainage, né dans la froideur d’une réunion budgétaire, s’achève avec un moment de générosité, extrêmement touchant, où nous étions entourés de professeurs, de médecins et d’infirmières profondément dévoués à une cause peu connue.
Le sentiment de gratitude s’inverse, car c’est nous qui sommes vraiment reconnaissants à Aurélie et Caroline de nous avoir permis de participer à cette initiative et de faire avancer, avec d’autres partenaires officiels, l’assistance aux milliers de jeunes patients vivant avec un foie malade ou greffé. Cela nous incite à chercher à parrainer chaque année un nouveau projet caritatif », souligne Guillaume Exbrayat.