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Quatrième Convention nationale Diagamter à l’étranger
Palma de Majorque pour la 16e édition
Après Barcelone, Marrakech et Lisbonne, Diagamter organise, pour la quatrième fois, la Convention nationale de son réseau à l’étranger en avril prochain. Destination choisie pour la 16e édition : Palma de Majorque.
85% de taux de participation
L’enseigne bénéficie d’un fort taux de participation de ses franchisés aux événements qu’elle organise (85%). En octobre dernier, la dernière séquence d’animations régionales a de nouveau rassemblé localement le réseau à chacune des huit étapes, autour d’échanges d’informations, toujours placé sous le signe de la convivialité.
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T. Marchand (président CDI Fnaim) : « Fondamental de partager la même vision du métier avec Diagamter »
Diagamter et ses 200 diagnostiqueurs certifiés viennent de rejoindre la Chambre des Diagnostiqueurs Immobiliers Fnaim (CDI Fnaim), comptant désormais 900 membres. L’enseigne, née avec son secteur d’activité, et l’institution, dernière émanation des chambres de la Fnaim, défendent la même éthique dans l’exercice de leur métier, garante d’un service de qualité pour le client final.
Pour mieux comprendre le sens de cette adhésion et l’impact sur l’avenir du 13e métier de la Fnaim, nous avons longuement interviewé Thierry Marchand, président de la CDI Fnaim depuis juillet 2016 et diagnostiqueur immobilier à Dinan depuis 12 ans, et Sylvain Coopman, délégué général de la CDI Fnaim depuis la création d’une institution à laquelle il a participé.
Quelle est la vocation de la Chambre Fnaim des Diagnostiqueurs Immobiliers ?
Sylvain Coopman : Notre vocation est d’être un syndicat comme un autre, représentatif des diagnostiqueurs immobiliers tout en conservant notre indépendance vis-à-vis des agents immobiliers.
Notre première mission est d’accompagner nos entreprises adhérentes dans l’exercice de leur activité. Cela se traduit notamment par une veille réglementaire, à travers des newsletters ou des flashs infos pour les sensibiliser plus particulièrement au sujet traité, et un accès à la permanence juridique de la Fnaim tous les matins en semaine. Nous proposons aussi un soutien technique, ainsi que des demi-journées d’informations en régions, dans plus d’une vingtaine de villes. Notre dernière tournée sur la norme FD C16-600 a été déployée sur 19 dates. Nous négocions également des partenariats à tarif préférentiel.
Thierry Marchand : Notre seconde mission est d’être porte-paroles de notre profession et de nos adhérents auprès des pouvoirs publics. Notre secteur a 20 ans d’existence, notre fédération professionnelle a été créée il y a 10 ans, nous avons donc une connaissance pertinente d’un métier au carrefour de l’immobilier et du bâtiment.
Les conclusions de nos bilans techniques ont un impact sur la sécurité et la santé des habitants et des ouvriers du bâtiment, ainsi que sur la protection de l’environnement. Certaines évolutions réglementaires nécessitent un travail interministériel : santé, travail, environnement et construction/logement. L’intégration des 200 diagnostiqueurs immobiliers Diagamter nous offre une meilleure densité de représentation sur notre secteur d’activité. Plus nous serons nombreux, tout en restant sérieux et crédibles, plus nous serons écoutés des pouvoirs publics.
Quelles ont été les avancées majeures pour le métier de diagnostic immobilier, apportées grâce au travail de la CDI Fnaim ?
Sylvain Coopman : En 2010, soutenus par la Fnaim, nous avons porté le projet de décret sur l’interdiction du commissionnement sous quelque forme que ce soit, tant vis-à-vis d’un professionnel de l’immobilier que du bâtiment. La formulation était d’ailleurs fortement « inspirée » du code d’éthique de la Fédération. Nous avons également été force de propositions lors des discussions sur l’évolution du Diagnostic de Performance Energétique (DPE), tant sur les critères à relever de façon plus précise et plus proche de l’usage réel que de l’obligation de valider les logiciels de calculs. Très récemment, nous avons « raccroché » le diagnostiqueur immobilier dans le décret concernant le Diagnostic Technique Global, puisqu’il – un comble ! – n’y figurait pas au départ.
Thierry Marchand : Nous avons aussi défendu, dans le cadre de la loi ALUR, que les diagnostics électricité et gaz soient réalisés pour la location exactement selon le même processus que pour la vente d’un logement. La majorité des anomalies constatées en électricité ont pour origine les modifications successives, faites occasionnellement et pas forcément dans les règles de l’art. Si la durée de validité a été voulue différente – 3 ans pour la vente, 6 ans pour la location -, c’était dans le but d’avoir un dispositif équilibré, en tenant également compte de l’intérêt économique des propriétaires, le taux de rotation moyen pour un bail étant de 4 à 5 ans.
Quels sont les futurs chantiers menés par la Chambre Fnaim des Diagnostiqueurs Immobiliers ?
Sylvain Coopman : Cette première victoire dans la convergence entre les DDT vente et location s’inscrit dans une volonté de simplification réglementaire et d’amélioration de la visibilité de notre travail par le consommateur, afin qu’il en comprenne l’essence.
Un autre de nos chantiers est le carnet numérique du bâtiment, autrement dit la transmission des informations que nous récoltons : ce qui existe pour le DPE doit pouvoir s’étendre aux autres diagnostics immobiliers, pour devenir une mine d’informations précieuse pour la gestion du patrimoine, tant privé que public.
La certification est très mal vécue des diagnostiqueurs mais – on l’oublie souvent – ce dispositif empêche le tout venant de réaliser des diagnostics et le suivi des compétences des diagnostiqueurs reste une incontournable exigence pour permettre à notre métier de bénéficier d’une assurance à un coût « raisonnable ». Cela n’interdit pas d’améliorer le système : nous poussons pour allonger la durée du cycle des certifications à 10 ou 12 ans, en combinant plus intelligemment avec une obligation de formation continue durant cette période mais cela ne pourra être « entendable » par les pouvoirs publics que lorsque la sinistralité aura été réduite.
Thierry Marchand : Aujourd’hui, nos rapports restent complètement indigestes pour le commun des mortels. Le chantier qui me tient particulièrement à cœur est de pouvoir proposer une lecture simplifiée des conclusions des diagnostics immobiliers. Cet outil se présenterait sous la forme d’une fiche recueillant, de manière uniformisée et approuvée par les pouvoirs publics, tous les points de vigilance identifiés sur un bien immobilier. Avec des informations ayant du sens pour les particuliers, propriétaires comme futurs acquéreurs : où on a trouvé de l’amiante, les zones du bien que nous n’avons pas pu visiter…
Par ailleurs, le métier de diagnostiqueur immobilier doit, d’ici 10 à 15 ans, s’étendre à d’autres domaines : ouvrages de génie civil, bateaux, avions… Par sa formation de base, l’architecte peut aussi bien construire une maison qu’un hôpital. Le même raisonnement doit pouvoir s’appliquer au diagnostiqueur immobilier pour tout type de missions relevant d’un diagnostic technique pour la vente ou la location d’un bien. Il faut, pour cela, que nous parvenions à montrer la qualité de nos prestations à l’ensemble des professionnels de l’immobilier et du bâtiment, ainsi qu’aux pouvoirs publics. Le diagnostiqueur immobilier de demain devra être spécialiste dans un domaine, et déléguer ou sous-traiter ce qu’il ne sait pas faire. Il sera un chef d’orchestre, plus qu’un homme-orchestre, un chef d’entreprise plus qu’un producteur indépendant.
Quelles sont les règles de vie entre les membres de la Chambre Fnaim des Diagnostiqueurs Immobiliers et la Fnaim, ainsi qu’au sein de la fédération professionnelle elle-même ?
Sylvain Coopman : La Fnaim a mis en place un code d’éthique et de déontologie que tous ses adhérents s’engagent à respecter. En particulier la notion d’indépendance et d’impartialité : il faut pouvoir être « libre » de son client pour réaliser une prestation. Nous ne souhaitons pas obliger la prescription aux diagnostiqueurs Fnaim par les autres adhérents de la Fédération mais nous faisons en sorte que tout prescripteur de diagnostics, particulier ou professionnel, choisisse un de nos membres parce qu’il répond aux exigences du label Fnaim, connu et reconnu dans l’immobilier.
Concernant les règles de vie au sein de la CDI Fnaim, un département Qualité traite des litiges entre adhérents et consommateurs particuliers. Je n’ai pas souvenir de conflits notables de ce type ou même entre adhérents mais, dans ce dernier cas, une commission d’arbitrage traiterait ce genre de questions.
Comment s’est nouée la relation entre Diagamter et la Chambre Fnaim des Diagnostiqueurs Immobiliers ?
Sylvain Coopman : A titre individuel, certains membres du réseau avaient déjà adhéré à la CDI Fnaim, ce qui a permis à la tête de réseau d’observer notre approche du métier, notre état d’esprit. Guillaume Exbrayat a rencontré le président de la Fnaim, Jean-François Buet [1], ce qui a déclenché le début des échanges avec Claude Pascal, le précédent président de la CDI Fnaim, Thierry Marchand et moi-même. Nous partagions des valeurs identiques et la même éthique du métier, notamment une exigence sur la qualité de la prestation et une politique de tarifs à la hauteur du travail accompli. Nous avions la même envie de construire le métier, la même perception de ce qu’il a été, est et devrait devenir. L’adhésion du réseau est devenue une évidence.
Thierry Marchand : Pour intégrer un réseau de franchise, c’était fondamental de connaître la philosophie de travail de l’enseigne, des dirigeants du réseau, et être certain de partager avec elle la même vision du métier, notamment en termes d’impartialité, de formation des diagnostiqueurs immobiliers et d’exigence professionnelle au quotidien. Tout adhérent CDI Fnaim doit porter haut les couleurs de son métier, ne pas être dépassé ni par son évolution constante, en termes de réglementation et de technologies, ni par la connaissance des matières, tout en demeurant une entreprise à dimension humaine. Les franchisés et le franchiseur Diagamter répondent parfaitement à ces critères, ce qui amène une hausse conséquente et cohérente de notre représentativité dans la profession.
Sylvain Coopman : Diagamter est un réseau à dimension nationale, au savoir-faire reconnu, existant depuis 20 ans. Depuis la création de la CDI Fnaim, personne ne s’est jamais plaint de ses franchisés auprès de nous (alors que cela a pu être le cas pour d’autres enseignes), ce qui facilitera l’intégration du réseau au sein de notre Chambre. Ce rapprochement est un acte gagnant-gagnant pour l’avenir économique de notre profession, entre un réseau de 200 diagnostiqueurs qui propose une uniformité de services au consommateur et une fédération qui connaît les futures dispositions pour son métier bien à l’avance.
[1] Lors d’une réunion régionale Fnaim, en octobre 2015
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AMFE : Des diagnostics plus importants que d’autres
Soutenir l’Association Maladies Foie Enfants
Il y a un an, à l’initiative d’un de ses franchisés (Olivier Couteau), Diagamter a choisi de parrainer Les Demoiselles Roses, Caroline Demas et Aurélie Anselin.
Ces deux amies, jeunes mamans et chefs d’entreprises, ont en effet récolté des dons, d’une part pour financer une partie du Trophée Roses des Andes (rallye opposant une soixantaine d’équipages féminins), et d’autre part, pour soutenir l’Association Maladies Foie Enfants (AMFE), un organisme caritatif qui leur tient à cœur parce qu’il aide la recherche médicale afin de vaincre les maladies hépatiques rares en pédiatrie.
Leur projet a participé à la création d’un nouvel espace de vie, dans le service hépatologie pédiatrique du CHU Bicêtre, incluant trois chambres parent-enfant, une salle de motricité pour les tout-petits, un bureau pour les professeurs des écoles et un espace d’échange avec les psychologues.
La générosité, 7e valeur de Diagamter ?
Guillaume Exbrayat, président de Diagamter, était présent ce 18 janvier à l’inauguration de cet espace facilitant la présence des parents auprès de leurs enfants malades.
« Incontestablement, il y a des diagnostics plus importants que d’autres… Ce projet de parrainage, né dans la froideur d’une réunion budgétaire, s’achève avec un moment de générosité, extrêmement touchant, où nous étions entourés de professeurs, de médecins et d’infirmières profondément dévoués à une cause peu connue.
Le sentiment de gratitude s’inverse, car c’est nous qui sommes vraiment reconnaissants à Aurélie et Caroline de nous avoir permis de participer à cette initiative et de faire avancer, avec d’autres partenaires officiels, l’assistance aux milliers de jeunes patients vivant avec un foie malade ou greffé. Cela nous incite à chercher à parrainer chaque année un nouveau projet caritatif », souligne Guillaume Exbrayat.
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Professionnels du diagnostic immobilier, créez ou développez votre affaire avec Diagamter !
Grande opération de mailing aux pros du diagnostic immobilier
Du 4 janvier au 22 mars 2017, Diagamter effectue une campagne de 12 mailings envoyés aux diagnostiqueurs immobiliers déjà installés, via le site DiagActu.
Le réseau leader en solutions pour le diagnostic immobilier propose ainsi aux diagnostiqueurs immobiliers déjà installés, qui ne peuvent aujourd’hui se suffire de leur seule expertise pour affronter la concurrence, ainsi qu’aux techniciens certifiés, freinés dans leur élan de devenir leur propre patron par l’accroissement des exigences liées à la création d’entreprise, de le rejoindre.
Retrouver de la sérénité au niveau du marketing et de la veille réglementaire
En devenant franchisé Diagamter, le professionnel du diagnostic immobilier demeure un homme de l’art, tout en retrouvant de la sérénité au niveau du marketing et de la veille réglementaire. Il bénéfice notamment d’une méthodologie et d’outils régulièrement mis à jour pour exploiter pleinement ses acquis en se différenciant de la concurrence avec l’enseigne porteuse d’innovations depuis près de vingt ans.
Ces importants gains de temps et en professionnalisation lui permettent de se concentrer sur la production de rapports et de pouvoir régulièrement prospecter les prescripteurs de son activité, dans le but de mieux se développer sous forme structurée.
Pour mieux comprendre l’attrait de cette évolution professionnelle, découvrez le portrait de Yohann Bejuy, technicien du diagnostic immobilier durant 9 ans devenu l’une des plus belles réussites du réseau Diagamter.
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Trois franchisés Diagamter ont partagé avec leurs confrères leurs débuts d’entrepreneurs
Intégration récente des trois témoins
Un dossier spécial « Démarrer son activité » est paru dans le dernier numéro de Points de Repère, sa newsletter interne destinée aux partages de bonnes pratiques au sein du réseau. Boris Caillère (franchisé dans l’Yonne), Frank Bisig (franchisé dans le sud de la France) et Alain Bazenet (franchisé en région parisienne), qui ont intégré Diagamter au cours des dernières années, ont partagé avec leurs confrères leurs débuts d’entrepreneurs avec le concept du réseau.
Adapter sa stratégie aux particularités locales
« Ces trois franchisés expriment, avec le recul de l’expérience, ce qu’ils ont ou auraient davantage priorisé au lancement, quelles ont été leurs forces pour convaincre leurs premiers prescripteurs et comment ils se sont servis de compétences acquises dans leur vie professionnelle passée pour réussir le développement de leur affaire.
Leurs témoignages renforceront les nouveaux franchisés dans la nécessité d’établir une stratégie et de l’adapter aux particularités de leur secteur géographique, et de persévérer dans la prospection commerciale », précise Guillaume Exbrayat, président de Diagamter.
Le devoir de se remettre en question
« Mais au-delà des nouveaux arrivants, ce sujet concerne tout franchisé, que ce soit pour relancer son entreprise, créer une rupture avec une vraie structure, ou simplement réapprendre en toute humilité. En sport, on appelle cela se remettre en question à chaque match ! », ajoute Guillaume Exbrayat.
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2 nouveaux portraits de franchisés Diagamter
Analyse méthodique d’une dizaine de franchiseurs du diagnostic immobilier
Pour permettre aux candidats à la franchise de se projeter dans une vie d’entrepreneur dans le diagnostic immobilier, Diagamter a donné une fois encore la parole à deux cabinets du réseau : l’un très récent, ouvert par une femme quarantenaire après une belle carrière dans le secteur du traitement des déchets, et l’autre représentant l’une des plus belles réussites du réseau, créé en association en 2010.
Attirée très tôt par l’entrepreneuriat à travers l’exemple de son père, Gaëlle Bessonnet a pris le temps d’acquérir les compétences nécessaires et de comprendre les codes du monde du travail et de différents environnements économiques avant de devenir entrepreneure à 41 ans. Avec méthode, elle a analysé la dizaine de franchiseurs présents sur le secteur du diagnostic immobilier, pris contact avec six d’entre eux et sélectionné trois enseignes à rencontrer, dont Diagamter à Franchise Expo Paris en 2014. Elle s’est lancée en proche périphérie de Toulouse fin 2015.
Salariés ensemble durant 8 ans avant de reprendre le cabinet Diagamter
De leur côté, Denis Andrieu et Didier Beaufils ont été durant huit ans au service du même cabinet de diagnostic immobilier à des postes complémentaires, avant de reprendre ensemble l’entreprise. Jusque-là, rien ne prédestinait pourtant les deux hommes à réussir un tel développement en commun, avec des parcours professionnels certes enrichissants, mais sur des chemins bien éloignés. Pour accélérer leur développement, les deux associés ont su s’appuyer sur la force du réseau Diagamter.
Les 7 portraits aujourd’hui disponibles sur ce site correspondent aux différents profils qui ont intégré l’enseigne.
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La pratique du métier de franchiseur par Diagamter
La force d’un Conseil consultatif
Les 5 et 6 octobre derniers, lors du dernier Conseil Consultatif, de nombreuses problématiques inhérentes à l’activité du diagnostic immobilier comme aux services de l’enseigne ont été évoquées, lors d’échanges, comme toujours, très directs entre les franchisés et le franchiseur.
2000 pratiques en France
Dans le numéro 8 de Points de Repère, la newsletter interne de Diagamter consacrée aux échanges de bonnes pratiques entre franchisés, quatre d’entre elles ont été analysées sous l’éclairage du système de franchise. Il existe aujourd’hui près de 2000 enseignes de franchise… et autant de façons de pratiquer ce mode de commercialisation, qui fêtera bientôt son demi-siècle d’existence en France et dont les principes fondateurs doivent être partagés par tous les réseaux, quels que soient les secteurs d’activité. Les franchisés de l’enseigne ont ainsi pu situer la pratique du système par leur franchiseur Diagamter.
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Formation continue pour l’animation du réseau
5 cabinets Diagamter structurés
En octobre et novembre derniers, Mathilde Milan, animatrice réseau sédentaire, a passé une à deux journées avec 5 cabinets Diagamter structurés (comptant une assistante, un commercial et un ou plusieurs techniciens, installés dans un local avec vitrine) dans le cadre d’une formation continue.
Elle s’est minutieusement imprégnée de la réalité du terrain sur le concept de l’enseigne afin d’améliorer ses connaissances sur le métier du commerce et le fonctionnement réel en agence du concept Diagamter, en accompagnant sur le terrain les franchisés et leurs équipes.
Visites en cabinet pour les nouveaux franchisés
« Si j’ai énormément partagé avec tous les franchisés, qui m’ont accueilli très chaleureusement, je leur ai aussi apporté de bonnes pratiques pour améliorer la performance de leur cabinet, selon les points d’amélioration identifiés.
Ces rencontres facilitent les échanges que l’on aura ultérieurement au téléphone. Le franchiseur Diagamter envisage de rendre plus régulières ces visites d’animation en cabinet ainsi que pour les nouveaux franchisés, notamment pour les accompagner lors de rendez-vous chez les prescripteurs », indique Mathilde Milan, animatrice sédentaire réseau.
Formation commerciale continue pour les nouveaux franchisés
Ce déplacement du service animation en cabinet, appelé à être renouvelé, participe au renforcement du soutien de l’enseigne, encore accentué pour les nouveaux franchisés. L’expérience d’un retour en formation quelques mois après le démarrage de l’activité Diagamter est désormais actée et reconduite pour les deux dernières promotions en janvier et juillet 2018.
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Nouvelle tradition pour le renouvellement des contrats de franchise
Deuxième, voire troisième partenariat consécutif
Le 18 octobre dernier, Diagamter a inauguré une nouvelle tradition, empreinte de la convivialité caractérisant l’esprit du réseau, pour le renouvellement de ses contrats de franchise (d’une durée de 5 ans). En effet, Jean-Louis Kersac’h, franchisé à Suresnes et Clamart (Ile-de-France), Daniel Safis, franchisé à Arles et Istres (Provences-Alpes-Côte d’Azur) et Romain Thomas, franchisé à Montluel (Auvergne-Rhône-Alpes) ont été reçu en VIP par l’équipe du siège de l’enseigne pour signer le 2e voire leur 3e partenariat consécutif avec le réseau.
Ambiance chaleureuse
Au cours de cette journée, ils ont pu échanger avec chacun des services (Technique, Informatique, Animation Réseau, Marketing & Communication, Direction Générale…) sur leurs problématiques locales et leurs attentes vis-à-vis du réseau.
« C’est un hommage rendu à nos partenaires, au respect à la fidélité et à nos valeurs que nous avons voulu leur témoigner. Tout ceci s’est déroulé dans une ambiance chaleureuse, avec un moment de plaisir autour d’une bonne table ! Nous les remercions sincèrement et leur donnons rendez-vous au moins dans 5 ans ! », souligne Guillaume Exbrayat, président de Diagamter.
95,8% de taux de renouvellement des contrats
Sur les 24 dernières reconductions de contrat possibles, 23 franchisés Diagamter ont renouvelé leur confiance à l’enseigne. Ce taux exceptionnel bénéficie indubitablement de l’accélération de l’accompagnement du franchiseur depuis trois ans, en particulier à travers l’apport de nouveaux services en communication et gestion d’un cabinet du réseau..
Ces réengagements mutuels consacrent tout autant l’efficacité d’un modèle économique sur son secteur d’activité que la qualité d’une relation de confiance entre l’enseigne et les cabinets du réseau.
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2000 appels par mois pour le service de secrétariat à distance de l’enseigne
Transformer le volume d’appels générés par le Pack Communication
Il y a deux ans, afin de permettre à ses franchisés de mieux se concentrer sur leur prospection commerciale auprès des prescripteurs de leur activité dès le démarrage de leurs affaires, Diagamter a mis en place un service de secrétariat à distance, géré par des professionnels de ce métier.
Grâce à cette présence téléphonique élargie (54 heures par semaine), une équipe d’une demi-douzaine de télé-commerciales peut transformer l’important volume d’appels entrants du cabinet, générés par les opérations du Pack Communication Diagamter, en commandes fermes, selon un cahier des charges directement défini avec le franchisé.
Faire gagner les franchisés Diagamter en productivité et efficacité
Fort d’un succès grandissant auprès du réseau, ce secrétariat à distance gère aujourd’hui près de 2000 appels entrants par mois. Il intervient aussi bien auprès des nouveaux franchisés que de ceux déjà en activité en raison de la diversité des missions qu’il peut accomplir. Son action s’inscrit dans le cadre d’une large gamme de services créés par Diagamter et destinés à permettre aux franchisés du réseau de faire la différence sur leur marché local en gagnant en productivité et efficacité.