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1ère radio de France, avec 6,4 millions d’auditeurs

Seule franchise dans le secteur du diagnostic immobilier à communiquer régulièrement dans les grands médias, Diagamter a engagé sa cinquième campagne de publicité d’une durée de trois semaines sur RTL.

Un spot d’une durée de 15 secondes sera diffusé 6 à 7 fois par jour, à partir du 22 février au 12 mars, à des horaires de grande écoute, durant toutes les émissions-phares de la station : RTL matin (orchestré par Yves Calvi) juste après l’intervention de Laurent Gerra, A la bonne heure (animé par Stéphane Bern), Les grosses têtes (avec l’équipe de Laurent Ruquier) et RTL Soir (sous l’égide de Marc-Olivier Fogiel).

Une vidéo de reprise du spot sera accessible sur la page d’accueil du site RTL.fr (plus de 3,5 millions de visiteurs mensuels), en accès partagé avec d’autres annonceurs. Au regard des précédentes actions de promotion de l’enseigne sur ce média, ce clip Diagamter devrait être diffusé environ 100 000 fois durant les cinq premiers jours de campagne. Il bénéficie en effet d’un taux de clic deux fois supérieur à la moyenne constatée sur ce site.
RTL est redevenue la première radio de France lors des dernières mesures d’audience mesurées par Médiamétrie, avec 6,4 millions d’auditeurs et 11,5% de parts d’audience.

Devenir un nom générique pour le diagnostic immobilier

Cette campagne sur RTL s’inscrit dans le cadre de la communication nationale de Diagamter, destinée à générer du trafic de clientèle vers les agences franchisées du réseau.

« Depuis 2012, Diagamter a entrepris d’installer sa marque dans le secteur du diagnostic immobilier, dans le but de devenir un nom générique synonyme de qualité pour son activité. Pour créer et développer de la notoriété assistée auprès du grand public et des professionnels, nous avons organisé des campagnes de publicités sur de grands médias : RMC, France 2, France 4, L’Equipe 21, et enfin RTL, pour la cinquième fois en un an et demi. Cette forte exposition médiatique est une stratégie dans la durée, partagée par les franchisés Diagamter. Elle a été rendu possible grâce à la création d’un Pack communication il y a trois ans, aujourd’hui accepté par la quasi-totalité du réseau. Ainsi, pour quelques centaines d’euros par mois, tout franchisé Diagamter a accès à des médias hors de portée pour un entrepreneur isolé du secteur, ainsi que des supports générateurs de trafic de clientèle ciblée vers son cabinet tels que Les Pages Jaunes », explique Guillaume Exbrayat, président de Diagamter.

Le plan Média 2016-2017 au programme du prochain Conseil Consultatif

Les radios et télévisions sont choisies en fonction de l’impact des campagnes nationales pour les cabinets du réseau Diagamter.

« RTL est la première radio de France sur les CSP+ et les propriétaires. Lors de la première campagne, et dès le premier jour, le cabinet franchisé du Havre a reçu un appel téléphonique d’un des premiers ports de France pour un contrat très important ! Le seul fait de passer sur des ondes nationales assoit également la crédibilité de notre enseigne auprès des prescripteurs de notre activité. Depuis les premières campagnes nationales, le trafic sur notre site Internet a été multiplié par trois », souligne Guillaume Exbrayat.

Une sixième campagne sur RTL sera diffusée entre avril et mai 2016. Lors du prochain Conseil Consultatif du réseau Diagamter, le plan média de l’enseigne pour l’année à venir sera l’un des sujets d’échanges entre le franchiseur et les franchisés membres de cette instance, élus par leurs pairs.

Près de 2000 visiteurs

Le 15 décembre dernier, Diagamter a participé au premier salon des professionnels de l’amiante à Paris. Au pied de l’Arche de La Défense, cet événement a accueilli près de 2000 visiteurs, exclusivement professionnels, autour d’une centaine d’exposants et d’une quinzaine de conférences et ateliers thématiques.

Enseignes de diagnostiqueurs immobiliers, centres de formation/prévention tels qu’Aléa Contrôles (filiale de Diagamter), laboratoires, bureaux d’études, groupes d’ingénierie, entreprises de démolition, fournisseurs de matériels… Tous étaient présents pour proposer à des donneurs d’ordres désireux de rencontrer des entreprises compétentes, des solutions innovantes pour répondre à leurs obligations.

Attention aux diagnostics obsolètes ou inappropriés

Présent à travers deux stands (avec Aléa Contrôles), Diagamter a été le seul réseau de franchise à animer un atelier sur le thème « Gestion des repérages « amiante » pour un donneur d’ordres : difficultés, enjeux et solutions ». Face à une cinquantaine de personnes, Guillaume Exbrayat, président de l’enseigne, a ainsi battu en brèche quelques idées reçues sur un matériau utilisé depuis 90 ans (avant son interdiction en 1997) dans toutes les constructions pour sa souplesse, ses résistances (feu, mécanique, etc.) et ses propriétés d’isolant (thermique et électrique).

Tout d’abord, il faut veiller aux diagnostics obsolètes ou inappropriés. Il est aussi nécessaire de pouvoir gérer facilement ses diagnostics dans le temps. De plus, il est indispensable d’interpréter les résultats d’un rapport, déclenchant souvent des opérations : mesures d’empoussièrement, travaux, évacuation immédiate des locaux… Enfin, ce n’est pas le diagnostiqueur qui est responsable du contenu des rapports remis. Une fois ces fondamentaux rappelés aux donneurs d’ordre, Guillaume Exbrayat a expliqué les solutions mises en place par son réseau de franchise, tant au niveau des outils que des services.

Faire de la pédagogie sur l’amiante

Près d’une dizaine de franchisés Diagamter, venus de toute la France (Metz, Cholet, Angers, Le Havre, Nantes, Rosny-sous-Bois, Ivry-sur-Seine…) ont visité le salon.

« Nos franchisés s’informent sur un sujet en plein développement dans notre réseau et pour lequel nous avons créé un club Virtuo, ainsi qu’une formation et un accompagnement pour permettre aux cabinets structurés d’investir un segment de marché exigeant et rémunérateur. Ils ont aussi toujours plaisir à venir échanger avec nous sur lors des événements où l’enseigne est présente.

Notre prise de parole en ateliers, devant une cinquantaine de personnes, montre que Diagamter figure parmi les référents techniques faisant autorité dans son secteur. Il faut encore faire de la pédagogie sur l’amiante avant travaux ou démolition. Au-delà de mon intervention, c’est un service que l’on rend à nos clients, actuels et potentiels. J’ai remarqué que même notre concurrence était présente à l’atelier, ce qui confirme combien notre regard est digne d’intérêt pour elle…», affirme malicieusement Guillaume Exbrayat.

Risque pénal pour les bailleurs sociaux

« Par ailleurs, j’ai été étonné de l’excellente affluence du salon, avec des allées pleine de monde, mais aussi de la qualité du visitorat et des exposants. Il ne s’agit d’un rendez-vous de l’« entre-soi » pour des professionnels. La présence de grandes collectivités locales, de mairies, de bailleurs sociaux et de maîtres d’ouvrage indique combien l’amiante est au centre de leurs préoccupations et qu’ils n’ont pas toutes les réponses à leurs problématiques. Le traitement de ce matériau est aujourd’hui un sujet économique majeur », ajoute Guillaume Exbrayat.

Damien Larroumets, responsable système d’information Diagamter, présent sur le salon tout comme Christophe Audibert (adjoint au directeur technique Diagamter) et Olivier Héaulme (associé Diagamter), confirme l’importance de cet événement pour l’enseigne : « C’était primordial pour Diagamter d’être présent à ce salon, en particulier pour réaliser de la veille sur les solutions informatiques proposées aux bailleurs sociaux. Ces derniers ont besoin d’un point de contrôle pour contrôler et gérer la vie de l’amiante des bâtiments dont ils ont la responsabilité. D’autant plus que s’ils mandatent des travaux liés à l’amiante et mettent des intervenants ou des occupants en danger, ils s’exposent à un risque pénal. Nous sommes là pour imaginer comment interfacer nos solutions, prévues pour des bailleurs sociaux pouvant gérer jusqu’à une dizaine de milliers de lots, avec les logiciels existants. Ainsi, nos franchisés n’auront pas à saisir de nouveau les données entrées dans une autre application ».

Pas de questions tabous

Depuis 2008, Diagamter organise des réunions d’informations collectives pour des candidats à la franchise, tous sélectionnés après un entretien téléphonique. Animateur de cette étape déterminante dans le parcours de sélection réciproque pour intégrer l’enseigne, Thierry Adeline, associé et directeur du développement du réseau, rencontre ainsi plus d’une centaine de profils par an. « Ces réunions doivent permettre aux candidats à la franchise de commencer à se projeter dans leur futur quotidien d’entrepreneur, de poser librement toute question utile, voire « tabou », durant mes interventions », précise-t-il.

La promesse du marché

Une réunion d’informations collective Diagamter commence par une présentation du réseau. « Diagamter investit  beaucoup d’argent chaque année dans la R & D. Le chiffre d’affaires moyen enregistré dans le réseau est de 300% supérieur à celui constaté en moyenne dans la profession, selon des données  Fnaim et Xerfi », rappelle Thierry Adeline.

La réalité du marché du diagnostic immobilier est ensuite développée à travers ses perspectives et ses exigences. « Sur un marché très atomisé,  le modèle de l’artisan qui œuvre seul, est devenu inadapté aux diktats de la conjoncture et de notre marché. Le chiffre d’affaires de notre secteur réglementé avoisine les 400 millions d’euros, en réunissant les marchés de la vente  celui de la location  et encore celui de l’amiante avant travaux ou démolition.

Diagamter par la part qu’il occupe sur ce marché, est un des leaders nationaux. Par sa maîtrise technique, elle peut permettre à ses franchisés de se positionner sur ces trois segments, et notamment le marché de l’amiante avant travaux ou démolition à travers une formation, la connaissance de la chaîne de la clientèle et une aide à la réponse dans les appels d’offre apportées par notre réseau », souligne Thierry Adeline.

L’innovation comme mode de croissance

Si le marché du diagnostic immobilier dispose de nombreux atouts (investissement mesuré, concurrence peu structurée, non soumis à la mondialisation, pas de produit de substitution, etc.), encore faut-il pouvoir l’exploiter dans les meilleures conditions. « Diagamter a choisi l’innovation comme mode de croissance grâce à une équipe de direction performante et pluridisciplinaire. Notre enseigne s’attache à créer, développer et pérenniser les outils et services permettant au futur franchisé d’analyser le marché local, de communiquer sur sa zone géographique, de produire selon la base line du réseau « irréprochable pour votre bien » et de commercer avec des supports performants, tant avec les particuliers que les prescripteurs de notre activité », insiste Thierry Adeline.

L’accompagnement du franchiseur est également détaillée lors de la réunion d’informations collective : animation, assistance technique et informatique, veille juridique, assurance adaptée au secteur, secrétariat et achats mutualisés, accords-cadres… « A travers la transmission de son savoir-faire, Diagamter favorise l’accès au métier de diagnostiqueur immobilier en préparant aux certifications obligatoires dans le secteur, et permet à l’entrepreneur de suivre les évolutions de sa profession grâce à des formations, initiale et continue, « maison » », ajoute Thierry Adeline.

3 sessions annuelles de formation

Depuis quatre ans, les réunions d’informations collectives Diagamter sont quasi-mensuelles et ont lieu à Paris et Lyon. « En cas de volonté commune entre le franchiseur et le candidat de poursuivre le parcours de sélection réciproque, elles se poursuivent par de nouveaux échanges, cette fois individuels. Il se passe en général 7 à 9 mois entre la réunion d’informations collectives et l’ouverture d’un cabinet Diagamter, en fonction des 3 sessions annuelles de formation de l’enseigne », indique Thiery Adeline.

Il est également possible de rencontrer le franchiseur et son équipe lors de certains événements, comme à Franchise Expo (stand face au grand espace de restauration du salon, 6^e présence consécutive en 2016).