Les actualités
Diagamter analyse le marché du diagnostic immobilier en temps réel
Refonder la relation du diagnostiqueur au professionnel de la location
Publiée le 26 mars 2014, la loi ALUR a livré au cœur de l’été ses dispositions concernant les diagnostics gaz et électricité à travers des décrets valables pour tout nouveau bail dans un peu plus de 11 mois.
Diagamter a été le premier à analyser les conséquences de ce bouleversement attendu et à les diffuser auprès de 90 000 acteurs directement concernés ou à l’activité connexe au secteur du diagnostic immobilier lors du troisième numéro de DiagInfo.
« Cette évolution réglementaire va provoquer de profonds changements dans le diagnostic immobilier, ainsi qu’auprès des professionnels de la gestion immobilière. Et ce, pour au moins trois raisons : les diagnostics location et vente sont désormais intégralement à égalité dans leurs contenus, les donneurs d’ordre – notamment les gestionnaires immobiliers – vont devoir mandater, suivre, réceptionner, et gérer dans le temps les diagnostics, et enfin, il faut refonder la relation du diagnostiqueur au professionnel de la location », explique Guillaume Exbrayat, président de Diagamter.
Défi anticipé
« Ce défi, nous l’avons également anticipé depuis l’année dernière, par la mise à disposition de la plate-forme de services à valeur ajoutée mondiagamter.com, capable par exemple de gérer et suivre les demandes de diagnostics, les dates de validité, de mettre à disposition les rapports de diagnostics, y compris aux propriétaires et aux occupants via un extranet sécurisé.
Les équipes du franchiseur travaillent déjà sur les guides méthodologiques correspondant à la mise en place de cette nouveauté obligatoire, afin que les franchisés Diagamter puissent appliquer les diagnostics gaz et électricité dès le 1er jour de leur entrée en vigueur, le 1er juillet prochain pour les appartements construits avant 1975, et le 1er janvier 2018, pour l’ensemble du parc », ajoute Guillaume Exbrayat.